Les Prix littéraires (2)

Publié le par Firmin Luemba


PRIX INTERALLIE

Première sélection :
Le rêve de Machiavel, de Christophe Bataille (Grasset)
Le premier principe, le second principe, de Serge Bramly (Lattès)
L’heure de la fermeture dans les jardins de l’Occident, de Bruno de Cessole (La Différence)
Les moustaches de Staline, de François Cérésa (Fayard)
Mon traître, de Sorj Chalandon (Grasset)
Les pieds dans l’eau, de Benoit Duteurtre (Gallimard)
Ce que nous avons eu de meilleur, de Jean-Paul Enthoven (Grasset)
Un traître, de Dominique Jamet (Flammarion)
La beauté du monde, de Michel Le Bris (Grasset)
Val de Grâce, de Colombe Schneck (Stock)
Ami de jeunesse, d'Antoine Sénanque (Grasset)

 

 

GRAND PRIX DU ROMAN DE L’ACADEMIE FRANCAISE

Première sélection établie par les Immortels le jeudi 25 septembre en vue de l’attribution du prix le jeudi 30 octobre.

Première sélection :
La dernière conférence, de Marc Bressant (de Fallois)
Les moustaches de Staline, de François Cérésa (Fayard)
L’heure de la fermeture dans les jardins d’Occident, de Bruno de Cessole (La Différence)
Les pieds dans l’eau, de Benoît Duteurtre (Gallimard)
Ce que nous avons eu de meilleur, de Jean-Paul Enthoven (Grasset)
L’inaperçu, de Sylvie Germain (Albin Michel)
Un chasseur de lions, d’Olivier Rolin (Seuil)
Un chapeau léopard, d’Anne Serre (Mercure de France)
L’excuse, de Julie Wolkenstein (POL)

SELECTION GRAND PRIX DE L’IMAGINAIRE (SCIENCE-FICTION)  

Prix du roman francophone

L’autre rive, de Georges-Olivier Châteaureynaud (Grasset)

Lothar Blues, de Philippe Curval (Robert Laffont)

Les tours de Samarante, de Norbert Merjagnan (Denoël)

Leçons du monde fluctuant, de Jérôme Noirez (Denoël)

La pentalogie Reine de mémoire, d’Elisabeth Vonarburg (Alire).

Prix étranger (auteurs anglo-saxons)

Code source, de William Gibson (Au Diable Vauvert)

Des horizons rouge sang, de Scott Lynch (Bragelonne)

La route, de Cormac McCarthy (L’Olivier)

L’oiseau impossible, de Patrick O’Leary (Calmann-Lévy)

L’enfant de cristal, de Theodore Roszak (Le Cherche Midi).

 

 

PREMIERE SELECTION DU PRIX DU PREMIER ROMAN

Roman français :

Los Angeles 32, de Philippe Moreau-Sainz (Michalon)

Polichinelle, de Pierric Bailly, (P.O.L)

Sans elle, d’Alma Brami (Mercure de France)

Alexis, la vie magnétique, de Christine Brusson (Rocher)

Le théorème d’Almodovar, d’Antoni Casas Ros (Gallimard)

L’inachevée, de Sarah Chiche (Grasset)

Des néons dans la mer, de Frédéric Ciriez (Verticales)

Hôtel de Lausanne, de Thierry Dancourt (La table ronde)

Désirée, de Marie Frering (Quidam Editeur)

La meilleure part des hommes, de Tristian Garcia (Gallimard)

Place Monge, de Jean-Yves Laurichesse (Le Temps qu’il fait)

Les récidivistes, de Laurent Nunez, (Champ Vallon)

Mon roi, mon amour, de Robert Pagani (La Table ronde)

Saloon, d’Aude Walker (Denoël).

Romans étranger:

Stasiland, d’Anna Funder (Héloïse d’Ormesson)

Dans la ville des veuves intrépides, de James Canon (Belfond)

Le tigre blanc d’Aravind Adiga, (Buchet-Chastel)

Bêtes sans patrie, d’Uzodinma Iweala (L’Olivier).

 

PREMIERE SELECTION DU PRIX DECEMBRE

Christine Angot : Le marché des amants (Le Seuil)
Claro : Madman Bovary (Verticales)
Maxime Cohen : Promenades sur la lune (Grasset)
Benoît Duteurtre : Les pieds dans l’eau (Gallimard)
Mathias Enard : Zone (Actes Sud)
Alain Fleischer : Prolongations (Gallimard)
Tristan Garcia : La meilleure part des hommes (Gallimard)
Jean-Yves Lacroix : Le cure-dent (Allia)
Catherine Millet : Jour de souffrance (Flammarion)
Denis Podalydès : Voix off (Le Mercure de France)
Josyane Savigneau : Point de côté (Stock)
Philippe Vilain : Faux père (Grasset)

 

 

DEUXIEME SELECTION DU PRIX DE FLORE

Pierric Bailly : Polichinelle (POL)
Tristan Garcia : La meilleure part des hommes (Gallimard)
Karine Tuil : La domination (Grasset)
Philippe Vilain : Faux-père (Grasset)
Aude Walker : Saloon (Denoël)

Le prix 2008 sera décerné le jeudi 6 novembre au café de Flore.

 

 

PROCLAMATION DES PRIX LIVRES DE POCHE : romans en trois catégories.
Le prix des Lecteurs : La société des jeunes pianistes, du Norvégien Ketil Bjørnstad (Lattès)

Sélectionné par 150 lecteurs français et étrangers francophones auxquels Le Livre de poche a adressé des romans chaque mois.

 

Le prix des Libraires : Elle s’appelait Sarah, de Tatiana de Rosnay (éditions Héloïse d’Ormesson)

Sélectionné par plus de 1000 libraires (France, Dom-Tom et Belgique)

 

Prix du Roman policier : L’œil de Caine, premier roman de Patrick Bauwen, un médecin qui se partage entre la région parisienne et les Etats-Unis (Albin Michel)

Créé cette année, également décerné par les lecteurs.

 

  
 Le prix Nobel de littérature pourrait être décerné à un auteur européen

 
  Le secrétaire perpétuel de l’académie suédoise a estimé que la littérature américaine n’était pas à la  
  hauteurde la littérature européenne. Une déclaration qui fait polémique à quelques jours de l’annonce du 
  prestigieux prix.

 

« Les Etats-Unis sont trop isolés, ils ne traduisent pas assez et ne participent pas au dialogue des littératures » a déclaré Horace Engdhal, le secrétaire général de l’académie des Nobel à l’agence Associated Press.

« Vous ne pouvez pas écarter le fait que l'Europe est encore au centre du monde littéraire... pas les Etats-Unis », a poursuivi Horace Engdahl, qui a ajouté : « En Europe vous pouvez bâtir votre œuvre, en toute tranquillité, sans crainte d'être battu à mort. »

A quelques jours de l’attribution du prix Nobel de littérature, cette déclaration a déclenché outre-Atlantique la colère des spécialistes de la littérature. Certains se sont même proposé d’envoyer à Engdahl des listes d’auteurs. Tous ont rappelé que les noms de Philip Roth, Joyce Carol Oates et John Updike circulent depuis des années.

Cela fait 25 ans que le Nobel n’a pas été décerné à un auteur américain. Toni Morisson, l’auteur (Noire-Américaine) de Beloved, est la dernière à l’avoir obtenu, en 1983. Avant elle, trois autres américains ont été récompensés par cette distinction : Saul Bellow, Ernest Hemingway et John Steinbeck.

 

Ajoutons qu’un Français, J-M Le Clézio serait sur la liste des probables lauréats 2008 du prestigieux prix.

ISRAËL DANS LE PAYS DE MOAB

Nombres 22 : 19 -24

 

Dieu n'est pas un homme pour mentir,

Ni fils d'Adam pour avoir du regret.

Ce qu'il a dit, ne le fera-t-il pas ?

Ce qu'il a déclaré, ne le maintiendra-t-il pas ?

 

Voici que j'ai reçu l'ordre de bénir;Dieu a béni, je ne le révoquerai pas.

 

Il n'aperçoit pas d'injustice en Jacob,

Il ne voit rien de pénible en Israël;

L'Eternel, son Dieu, est avec lui,l fait entendre une clameur royale.

 

Dieu les a fait sortir d'Egypte,

Il est pour eux comme la vigueur du buffle.

 

L'occultisme ne peut rien contre Jacob,

Ni la divination contre Israël;

Au temps marqué, il sera dit à Jacob et à Israël

Quelle est l'action de Dieu.

 

Voici un peuple qui se lève comme une lionne,

Et qui se dresse comme un lion;

Il ne se couche pas jusqu'à ce qu'il ait dévoré la proie,

Et qu'il ait bu le sang des blessés.

 

 

 

METTRE EN PRATIQUE LA PAROLE

Luc 6 : 46 - 49

 

Pourquoi m'appelez-vous : Seigneur, Seigneur ! et ne faites-vous pas ce que je dis ?

 

Tout homme qui vient à moi, entend mes paroles et les met en pratique, je vous montrerai à qui il est semblable:

 

Il est semblable à un homme qui bâtit une maison.

Il a creusé profondément et posé le fondement sur le roc. Une inondation est venue, et le torrent s'est rué contre cette maison, sans être capable sans être capable de l'ébranler, parce qu'elle était bien bâtie.

 

Mais celui qui entend et ne met pas en pratique est semblable à un homme qui bâti une maison sur la terre, sans fondement. Le torrent s'est rué contre elle : aussitôt elle s'est écroulée, et la ruine de cette maison a été grande.

 

 



 



Sources : Livre Hebdo.
Sélection informations : chez-firmin.over-blog.com

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